lundi 2 avril 2018

Voyage Porsche en Europe 2018

Ma blonde Éliane et moi avons eu la chance d’aller recevoir notre nouvelle Porsche directement à l’usine de Zuffenhausen, grâce au programme de livraison en Europe.

Vol vers l’Europe - jeudi 1er mars 2018

Pour un vol de nuit vers l’Europe, la classe affaire Lufthansa offre des bancs qui se baissent au point de s’y coucher. Le prix d’achat initial est un peu exorbitant, mais l’ajout d’un surclassement est parfois très abordable, si on l’achète au moment de l’enregistrement. Mais là, on a reçu un courriel de Lufthansa nous offrant un surclassement à 810$, mais seulement pour le retour. Toutes les recherches que je faisais me disaient qu’il n’y avait plus de place en business pour le vol de l’aller. Mais c’est à l’aller qu’on vole de nuit, pour le retour, c’est de jour, donc moins nécessaire. Alors je me suis dit qu’on se contenterait du classement économie premium.

Mais Éliane ne se décourage pas si facilement, et encore une fois, elle avait raison. Au moment de l’enregistrement à l’aéroport, on a demandé s’il restait des places en classe affaire, et comme de fait, il y en avait, et pour moins cher que le 810$ demandé en début de semaine pour le vol de retour. On a donc réussi à avoir deux sièges qui étaient séparés par l’allée, mais c’était quand même très cool!

Arrivée à Munich - vendredi 2 mars 2018

Le train et nos premiers petits stress

C’était la 3e fois que j’arrivais à Munich, mais la première fois que je prenais le train de l’aéroport pour nous rendre au centre-ville. Et comme je dors très mal en avion, même en classe affaire, je souffrais un peu du jetlag. On avait déjà pris le train en Europe lors de d’autres voyages (e.g., Zurich, Rome, etc…), alors on avait une bonne idée de ce qu’il fallait faire.

Mais quand on a essayé d’acheter des billets au guichet, notre carte de crédit ne fonctionnait pas. Après quelques essaies, on a essayé une autre machine… même chose! On commençait à stresser, mais la 3e machine qu’on a essayée a fonctionné! Oufff…

Une fois dans le train, en approchant du centre-ville, j’ai commencé à avoir des doutes sur notre direction. Pour une raison quelconque, je pensais qu’on arriverait de l’ouest, et quand j’ai vu qu’on était rendu à l’est de la ville, j’ai pensé qu’on avait passé tout droit. Mais non, on n’était juste pas encore arrivé, parce que l’aéroport est au nord est. Ouff encore…

Quartier près de la gare

On a choisi un hôtel près de la gare pour qu’on puisse y aller et en revenir à pied, mais les quartiers autour des gares ne sont pas toujours les plus sûrs. 2 portes avant notre hôtel se trouve un club de danseuses nues, et la suivante un bar sportif aux airs mafieux.

Mais l’hôtel était quand même très bien, et malgré les nombreux piétons douteux qu’on a croisés sur le trottoir, tout s’est très bien passé.

Première journée à Munich

Avec le jetlag, je n’avais aucun appétit, et j’ai mangé seulement quelques bouchées de mon premier schnitzel… Dommage, il était très bon.

On a ensuite marché un peu dans les rues piétonnes avant d’aller faire un petit tour de bus touristique avec guide audio.

Après une petite pause à l’hôtel pour m’aider à récupérer un peu du jetlag, on est allé manger une pizza pour souper. Et même si mon appétit revenait à la normale, l’imposante taille de la pizza ne m’a pas permis de toute la manger… Mais Lili non plus n’a pas terminé la sienne.


On est ensuite retourné marcher dans les belles rues piétonnes du vieux Munich et pris quelques photos devant le magnifique hôtel de ville, à Marienplatz.

Même s’il ne faisait pas chaud chaud.

2 autres jours à Munich - samedi et dimanche 3 et 4 mars 2018

Comme on aime bien visiter des palais pour voir les appartements où vivaient les empereurs et autres dirigeants d’époques révolues, on est allé faire le tour des Residenz de München. C’était pas mal cool. Mais encore un petit pépin, il nous a fallu faire le tour sans savoir où aller avant de finalement trouver l’entrée complètement de l’autre bord.

Mais ces détours et petites inquiétudes auront valu la peine, parce que c’était assez impressionnant à l’intérieur.


Le summum du rococo, un peu comme cette église qu’on a visitée un peu plus tard dans l’après-midi après un excellent lunch au superbe resto le Kuffler. Jésus semblait décourager devant autant de rococo.

Pour le souper, on est allé vers un classique international pour Éliane et moi (on collectionne les chandails de ce resto), le Hard Rock Cafe. C’est pas la meilleur nourriture, et certains diraient que c’est de gaspiller un repas en Europe de manger là, mais nous autres on aime ça.

Et après une visite de la grande brasserie Hofbraeuhaus on a fait une courte marche avant d’aller nous coucher tôt pour bien récupérer du foutu jetlag.

Le lendemain, on a fait des tours de tramway (Éliane adore se promener en tramway), et on s’est rendu au palais de Nymphenburg, résidence d’été des dirigeants de la bavière.

Encore une fois, de très beaux appartements, avec de somptueux plafonds:

Mais aussi un beau parc avec une belle petite terrasse où on a mangé et pris un drink.

Au retour, nous avons fait un autre tour de tramway, juste pour le trip, et mangé un excellent steak au restaurant Little London.

Et voici ce que notre itinéraire de notre dernier jour à Munich:

2 jours à Stuttgart - lundi et mardi 5 et 6 mars 2018


Départ en train après un bon petit déjeuner au café Fellows, nous sommes retourné à la gare centrale à pied avec nos valises, à croiser de douteux piétons… encore une fois… sans conséquences. :-)

Et à la gare, la carte de crédit a fonctionné du premier coup pour l’achat de nos billets vers Stuttgart. On s’est réservé des places, mais on comprenait pas bien la façon dont les numéros de banc étaient écrits sur les wagons pour qu’on sache par où entrer. Et quand je l’ai finalement demandé, je me suis rendu compte que j’étais épais de ne pas avoir compris.

Mais là où je me suis senti encore plus épais, c’est quand le contrôleur nous a demandé nos billets et que je ne les trouvais plus. Je pensais les avoir échappés quand j’ai posé la question à propos des numéros de bancs sur les wagons. Mais non,on l’a retrouvé, mais ce n’était pas ça le billet, c’était la réservation des bancs. Les vrais billets, je les avais dans la main, mais je pensais que c’était juste le reçu… Encore un petit stress qui a bien fini. Pas clair quand c’est juste écrit en Allemand… :-(

Stuttgart est la grande ville près de Zuffenhousen, où se trouve l’usine Porsche où on est allé chercher l’auto mardi matin. Mais avant ça, on s’est baladé dans Stuttgart, une autre belle ville européenne avec de grandes rues piétonnes bordées de sympathiques terrasses...

Typiquement européen, et encore plus allemand, nous sommes tombé sur une manifestation. Ils ont essayé de nous recruter, ils pensaient qu’on vivait là. Peut-être à cause du look Suisse-Allemand de Éliane, qui s’est faite aborder en allemand au resto à Munich, la fille était convaincue qu’elle était allemande en se basant sur son look.

Mais revenons à Stuttgart, où, encore une fois, nous sommes très bien tombés pour notre souper au restaurant Zanzibar, et encore une fois aussi, on a bu une excellente bouteille de vin.

Après ce bon souper, et encore de bonnes marches dans les rues piétonnes (je sens que je me répète, mais c’est ça un voyage en Europe pour Éliane et moi), on est allé se coucher encore pas trop tard, parce qu’on devait partir tôt le lendemain matin pour aller chercher notre nouveau bébé.

Et le lendemain, finalement, on arrive chez Porsche à 7h30 comme on nous l’avait recommandé sur les papiers que Porsche Canada nous ont donnés.

La recommandation n’était pas tout à fait appropriée, on a dû attendre un bon moment, mais ça valait la peine pour enfin recevoir notre superbe voiture et pouvoir l’essayer pendant quelques jours en Europe.

Mais avant, on a eu l’opportunité de visiter l’usine où sont fabriquées ses magnifiques bolides. On a aussi vu la construction d’une nouvelle usine pour des moteurs électriques. Malheureusement, on n’a pas pu y prendre de photos, et a failli de pas voir la section finale quand les autos sont toutes montées parce qu’ils travaillaient sur un tout nouveau modèle secret. Mais à la dernière minute, les nouveaux modèles étant terminés, on a pu aller voir les dernières étapes de construction d’une Porsche. On a aussi vu la couture et l’installation du cuir, très intéressant. Mais le plus cool selon moi était les robots qui transportent l’équipement, et la façon dont l’utilisation des outils est contrôlée par un scan de la pièce sur laquelle ils seront utilisés. Très cool...

On a ensuite eu droit à un excellent lunch gastronomique avant d’aller visiter le musée Porsche, où là j’ai pu prendre plein de photos.

Et quand on a finalement pris le volant, on est allé faire un petit tour dans la forêt noire. Très petit tour, parce qu’on n’avait pas beaucoup de temps, mais on pourra dire qu’on y a fait un beau petit tour. Et même probablement été photographié dans un village, par un radar photo parce qu’on roulait à environ 60 km/h dans une zone de 50… Oups… À suivre…


Au retour de la forêt noire, une autre inquiétude, un autre stress, le GPS ne nous ramenait pas à l’hôtel. Je pense que c’est à cause de la construction autour de la gare, et comme à Munich, notre hôtel (proposé par Porsche) était à distance de marche de la gare. Un passager du train avec qui on a un peu parlé en français nous avait averti des problèmes causés par la construction, parce que la gare va éventuellement être souterraine.

Mais bon,c’est quand même stressant de se retrouver au volant, dans une ville qu’on ne connaît pas, une toute nouvelle auto à laquelle on n’est pas encore tout à fait habitué, et un GPS qui ne nous guide pas vers le bon endroit. Après quelques détours, et le retour au même endroit plus d’une fois, j’ai finalement entrer l’adresse du stationnement plutôt que l’hôtel, et le GPS nous y a bien guidés. :-)

2 jours à Prague - mercredi et jeudi 7 et 8 mars 2018

Après une bonne nuit de sommeil, on est enfin prêt à partir pour notre première longue ride en Porsche, de Stuttgart à Prague.

Bien sûr, on parle beaucoup des autoroutes allemandes, les Autobahns, où il n’y a pas de limite de vitesse. En fait, à beaucoup d’endroit, la limite de vitesse peut changer, alors, les panneaux sont électroniques et changent selon les conditions. Et ce que je trouvais drôle, c’est que des fois, on dit que la limite descend à 60 km/h par exemple, et ensuite on voit un panneau qui dit que la limite n’est plus 60, mais ça ne dit pas c’est quoi la limite, ça dit juste que ce n’est plus 60. Weird.

Et comme les limites sont souvent très élevées, les camions n’ont pas le droit de dépasser, ce serait trop dangereux. Et donc, entre Stuttgart et Nuremberg, on a croisé un méga bouchon de circulation (heureusement dans l’autre sens) de 5 à 10 km de long. Mais à un moment donné, on a remarqué que c’était juste des camions, les automobiles avançaient dans la voie de gauche, mais les camions ne pouvaient pas. C’était impressionnant.

En fait, il y avait parfois même des limites de vitesse différentes pour les camions, et parfois, il y avait des limites de vitesses différentes s’il y a des précipitations (pluie ou neige). C’est un peu surprenant pour nous, Nord-Américains.

Avant d’arriver en république Tchèque, on a dû acheter une vignette pour l’auto parce qu’on avait une plaque spécifique à l’allemagne, contrairement à pratiquement toutes les autos qu’on a croisées qui avaient des plaques de l’union européenne. Par exemple, celle-ci est de l’autriche (et en autriche ils identifient la ville avec un logo), et le logo de l’EU, j’imagine, donne accès à tous les pays de l’EU sans vignette.
Celle là est celle qu’on avait sur la Porsche (et que je vais remettre à l’avant quand je vais recevoir ma Porsche ici, et l’autre sera posée sur la Mini d’Éliane).
J’imagine que le 21-03-18 est la date d’expiration de cette plaque temporaire.

Une fois entré en république Tchèque, on avait faim, mais le seul resto qu’on a trouvé était un PFK, et la pauvre Éliane a eu de la difficulté à digérer ce lunch pendant plus de 24 heures. Mais ça ne l’a pas empêchée de savourer notre entrée dans cette superbe ville qu’est Prague.


Et on a été merveilleusement reçu au Radisson Blu Acron, à partir du moment où on s’est approché avec la Porsche et que le portier et le valet nous ont accueillis, on se sentait comme des rois. On nous a même offert une bière quand on a fait notre check-in.

La chambre était superbe, avec de belles grosses bouteilles d’eau en verre réutilisables, ainsi que des convertisseurs de prises électriques, très cool, j’avais jamais vu ça. Et, bien sûr, très bien situé.

Et Prague… Wow… Prague est vraiment cool. Malheureusement, une des attractions touristiques n’étaient pas disponible, l’horloge astronomique était en rénovation.

Mais bon, on a quand vu plein de belles choses, juste à se promener dans les rues piétonnes, pris d’excellentes photos, comme celles-ci:



On est aussi allé s’acheter des trucs au HardRock café, et mangé un excellent souper au restaurant La Finestra. Mais Lili n’avait malheureusement pas beaucoup d’appétit, fort probablement à cause du lunch au PFK… :-(

Et encore une autre excellente bouteille de vin… L’Amarone, j’adore…
Après le souper, on a croisé Kafka… Impressionnant.


Le lendemain, on a pris un bon petit déjeuner à la chambre, avant de partir vers le quartier des palais.

Mais malheureusement, la plupart des visites de palais étaient fermées cette journée là.

Probablement à cause d’une conférence du président de la république… genre…

Mais on a quand même fait, comme on aime, de belle promenades dans les rues de cette magnifique ville. On a aussi fait le tour de ville en bus touristique (mais pas aussi intéressant que ce à quoi on est habitué). Et une autre activité qu’on apprécie fortement, prendre un “petit” verre sur une terrasse. :-)

On est aussi monté dans la tour de l’horloge astronomique qui était ouverte malgré les rénovations, et on a pu y prendre de belles photos, dont quelques unes ont été utilisées par Google Photos pour créer ce beau panorama.

On a continuer cette belle journée avec un tour de tramway, une autre bonne bière Tchèque dans un pub irlandais, et un autre excellent souper, et une très bonne bouteille de vin:

2 jours à Vienne - vendredi et samedi 9 et 10 mars 2018

Après un excellent petit déjeuner, on a fait notre checkout et on a eu une belle surprise en reprenant la Porsche, le valet nous avait laissé deux bouteilles d’eau et une boîte de tic tac dans l’auto. Wow! Ça s’est du service. :-)

On a vu une bonne différence en entrant en Autriche. Les autoroutes sont vraiment plus belles et mieux entretenues qu’en République Tchèque. Il y a aussi beaucoup d’éoliennes, mais les premières qu’on a vues ne tournaient pas, ça faisait bizarre. :-)

On arrive à Vienne par la banlieue. Notre première impression n’est pas aussi agréable que quand on est arrivé à Prague. L’hôtel est aussi moins intéressant (on a eu plusieurs problèmes avec nos clés magnétiques, et malgré leur annonce de choix d’oreillers, quand Lili avait de la misère à dormir, on a demandé d’autres oreillers, et ils ont dit qu’ils n’en avaient pas d’autres), mais la vue de notre gros balcon était superbe.


Et les premières rues dans lesquelles on a marché n’étaient pas très invitantes, et pas très occupées.

Mais une fois sur la rue piétonne principale… Wow! Pas mal plus cool… Presque autant qu’à Prague. Première mission, aller chercher les billets qu’on a achetés par Internet pour un spectacle de musique de chambre à l’opéra. Première déception, on s’est trompé, et on a acheté 4 billets.

On a ensuite visité l’Albertina, beau musée, avec des appartements et aussi une exposition de tableaux incluant quelques Picassos. On a d’ailleurs appris quelques trucs cool sur lui dans notre audio guide.

On est ensuite allé souper dans un bon restaurant italien, et bu une autre excellente bouteille de vin, un Brunello di Montalcino, de Camigliano. On a continuer cette belle première soirée à Vienne en allant visiter la superbe cathédrale Saint-Etienne. On a terminé ça sur une terrasse chauffée. Quelle belle journée!

Le lendemain, on a commencé avec le spectacle de musique de chambre, pour lequel on avait acheté 2 billets de trop. C’était très cool…

On a ensuite visité le palais de Sissi, avec une exposition très intéressante sur la vraie impératrice, ses similarités et ses différences avec le personnage de la série; Lili a adoré ça.

En sortant du palais, on marchait tranquillement sur une petite rue ordinaire, et on a vu un petit resto qui avait l’air chouette, et, encore une fois, on est très bien tombé. Excellente pizza au Ristorante La Sosta.

On est ensuite allé faire un petit tour de bus touristique avec audio guide, ce qui nous a permis de voir des parties de la ville que nous n’aurions pas eu le temps d’aller voir. C’était pas mal.

On a ensuite déambulé dans les rues, comme on aime le faire dans de beaux endroits comme Vienne.

On a souper dans un très bon resto appelé Artner, et ensuite on a encore fait une balade, tout comme le lendemain matin, après un excellent petit déjeuner.

1 journée à Salzbourg - dimanche 11 mars 2018

On a enfin pu rouler un peu avec la Porsche décapotée… C’était pas mal cool!!!

En chemin vers Salzbourg, je me suis rendu compte, que comme c’était assez près de la Suisse, c’était peut-être la ville où vivait la famille von Trapp, du film La mélodie du bonheur (The sound of music). Et Lili était très contente de le confirmer sur Internet pendant qu’on roulait. C’est un de ses films préférées!!!

Mais ensuite, on s’est concentré sur le magnifique paysage que nous offraient les alpes le long des belles autoroutes de l’Autriche.

Mais en arrivant à Salzbourg (après un autre petit détour dû à une incompréhension de ce que nous disait le GPS), c’était un peu comme en arrivant à Vienne, une banlieue moderne pas typique du tout.

Et en plus, l’hôtel n’avait pas de débarcadère pour l’auto, et le stationnement suggéré était celui d’un centre d’achat à côté. C’était au moins un stationnement souterrain, mais ça nous a pris du temps à trouver l’accès à l’hôtel. Mais bon, comme tous nos autres petits détours, on a fini par trouver notre chemin.

On a demandé conseil aux employés de l’hôtel pour savoir quoi visiter. Bien sûr, Lili voulait voir les endroits où La mélodie du bonheur avait été filmée.

Encore un petit détour, le transport en commun ne se rendait pas à la maison, et on a mal jugé où débarquer, alors on a fait une petite balade à pieds en banlieue, mais la vue était pas désagréable.

Et on a fini par trouver la maison des von Trapp qui est maintenant un hôtel, qui n’est pas ouvert au grand public. Mais Lili aura eu sa photo devant la maison des von Trapp.

Mais là, la prochaine visite, un funiculaire qui monte vers une forteresse qui surplombe la ville, fermait à 17h, et on avait perdu un peu de temps à trouver la maison des von Trapp, et le transport en commun était encore difficile d’accès. On a donc marché un autre bon bout, et, encore une fois, on a fini par y arriver, malgré un méchant détour vers le haut, plus qu’à mi-chemin d’où nous amènerait le funiculaire, donc beaucoup de marches montées, et d’autres descendues.

Lili avait une petite faim, et on est allé s’acheter de petits chocolats autrichiens, et elle les a tellement aimés, qu’on est revenu pour en acheter 3 sacs. Mais bon, on a finalement monté à la forteresse.

C’était très cool, et Lili est très fière de cette photo qu’elle a prise de moi en haut de la forteresse:

On a eu plein de belles surprises à Salzbourg. Après avoir visité les endroits classiques, on s’est promené dans les rues piétonnières et on a adoré cette petite ville pour laquelle on n’avait aucune attente.

On a même eu la surprise de revoir une statue qu’on avait vue à Prague, et c’est juste une fois de retour à Montréal que j’ai réalisé que ce sont les deux seules du genre, et on est tombé sur les deux.

Ensuite, on est allé manger, encore une fois, un excellent repas au Symphonie. Sans le savoir d’avance, on a réalisé que c’est le restaurant du Radisson Blu hotel, de la même chaîne que le superbe hôtel où on a dormi à Prague. Je pense que c’est là qu’on va coucher quand on va revenir à Salzbourg.

On a ensuite trouvé quelques trucs reliés à la Mélodie du bonheur en chemin vers l’hôtel, et même une belle statue de Sissi… Et oui, Sissi à Salzbourg… :-)

1 dernière journée complète en Allemagne - lundi 12 mars 2018

C’est un peu le coeur lourd qu’on a quitté Salzbourg, mais on avait le pied encore plus pesant. Comme j’avais un peu plus d’expérience avec la Porsche, et qu’elle avait fait son premier 1000 km, on l’a poussé un peu plus quand on est retourné sur les sections de l’autobahn avec aucune limite de vitesse.
On n’a pas réussi à monter à plus de 195 km/h, à cause de la circulation, et du fait qu’on ne connaissait pas bien la route. Mais c’était quand même super cool.

Pour continuer dans notre lancée de petits pépins pas graves, j’ai dû accroché Google maps quand mon téléphone était dans ma poche, et ça a ajouté une destination plus loin que là où on voulait aller. On a commencé à avoir des doutes quand on est sorti des banlieues de Stuttgart, et que Google Maps nous guidait vers la campagne. On s’est arrêté un peu n’importe où pour réaliser ce qui se passait. On était environ 30 minutes trop loin. Heureusement qu’on était pas trop en retard, les bureaux de Porsche ferment à 16h00, on y est arrivé à 15h00. Oufff…
Et même là, encore une petite peur, les premières personnes à qui on a parlé nous ont dit qu’ils ne recevaient pas de retour de voitures à être livrées outre-mer à cet endroit là. Ils ont allumé quand ils ont su qu’on avait de pneus d’hiver.

On a dû dire bye bye à la Porsche avant d’aller prendre le train pour Munich où on allait faire notre dernier dodo en Europe.... pour cette fois-ci.

Et encore là, on a failli faire un gaffe. On n’a pas remarqué que notre train avait changé de quai, alors on l’attendait au mauvais endroit. Heureusement, on n’était pas les seuls, et un employé de la gare est venu nous aviser… Ouffff…

Pour notre dernier souper, on est encore super bien tombé. On cherchait quelque chose un peu au hasard dans les petites rues, et on a vu un endroit qui nous semblait chouette. On a un peu hésité quand on a vu que le menu n’était qu’en allemand, mais on a décidé d’entrer quand même, et on n’a pas été déçu. Le super gentil serveur nous a traduit tout le menu, et nous a expliqué qu’ils venaient à peine d’ouvrir, 2-3 jours avant, et n’avaient pas encore reçu leur menu en anglais.
C’était excellent, et on a passé une très agréable soirée…

En sortant du resto, on est allé passer ce qu’on pensait être nos derniers moments sur la Marienplatz, mais on n’a pu s’empêcher d’y retourner le lendemain matin, avant d’aller prendre le train vers l’aéroport.

Et pour finir ça en beauté, quand on a pris le train vers l’aéroport, on n’a pas pris le bon. En fait, c’était le bon train, mais dans la mauvaise direction. Ha ben… On s’en est rendu compte après un seul arrêt, et on a juste eu à reprendre le train qui partait dans l’autre direction. Encore une fois… Oufffff…. Et en plus, ce train se séparait en deux à un moment donné. Mais là, on était dans la bonne moitié qui allait à l’aéroport, l’autre moitié allait… ailleurs…

Une fois à l’aéroport, on a aussi eu une drôle de surprise, mais ce n’était pas un détour, c’était une offre d’avoir un lift en kart électrique, une fois qu’on a passé la sécurité. Ils se sont même occupé de montrer nos passeports aux douanes… Vraiment étrange comme service VIP random… Mais bon, c’était une belle façon de terminer ce magnifique voyage…. Que de beaux souvenirs.
Et voici ce qui nous attendait une fois arrivé à la maison:

Mais ça a vite changé pour devenir ceci:

Et voici tout ce qui reste de la Porsche en attendant qu’elle nous rejoigne de ce côté-ci de l’Atlantique.




FIN